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En haut de la pageAssociation Ukrainienne d'aide aux nouveaux arrivants à Montréal (Québec, Canada)

Divers raisons à des moments différents ont poussé les Ukrainiens et les Ukrainiennes à quitter l'Ukraine et à commencer une nouvelle vie dans un nouveau pays. Il est très important pour chaque immigrant rendu à ce stade d'avoir à son côté des compagnons qui pourraient donner un conseil ou tout simplement prononcer quelques paroles aimables.

Photo par Mike Reshitnyk http://montrealukrainian.freeyellow.com/Le curé de la Paroisse Catholique Ukrainienne de l'Assomption de la Sainte Vierge, le Révérend Père Volodymyr Vitt, depuis peu arrivé à Montréal (Québec, Canada), comprenait mieux que personne les besoins des nouveaux immigrants. A partir de 1997, tous les premiers samedis du mois le R. P. Volodymyr accueillait les nouveaux arrivants dans la maison où il demeure avec sa famille. Des conversations intéressantes y avaient lieu avec du café et des biscuits. On écoutait souvent des enregistrements d'émissions télévisées sur des sujets spirituels et théologiques. Ces rencontres nous ont tous aidés a établir une échelle de valeurs et à se faire plusieurs nouveaux ami(e)s.

Pour pouvoir aider davantage les Ukrainiens et les Ukrainiennes arrivant à Montréal, une association baptisée «Zustrich» (en ukrainien "rencontre", "accueil", "rendez-vous") a été fondée. Cet association rassemble les nouveaux arrivant(e)s ukrainiens afin de pouvoir s'entraider, promouvoir la culture ukrainienne et faciliter l'intégration à la société québecoise. Le 20 décembre 1997 l'assemblée des nouveaux arrivant(e)s ukrainien(ne)s a confirmé l'établissement de l'Association, a élu son Uprava (Conseil) et a ratifié son Statut. M. Mykola Kulishov a été élu en tant que Président de l'Association.

A partir de 1998  «Zustrich» invite tous ceux et celles qui ne sont pas indifférent(e)s au destin de l'Ukraine et des Ukrainien(ne)s à sa nouvelle maison (5213, Hutchison) tous les premiers samedis du mois à 18h00.

En haut de la pageNouvelles
18 juin 2003

:. Ottawa annonce un plan d'action et s'attaque aux consultants en immigration
 
Cheap labourLe gouvernement fédéral a dévoilé, mercredi, la prochaine étape de ses efforts pour faire le ménage et encadrer la profession des consultants en immigration. Le ministre de l'Immigration et de la Citoyenneté, Denis Coderre, a annoncé que cette profession serait bientôt contrôlée par un organisme de réglementation chargé de mettre en oeuvre une série de recommandations issues du rapport d'un groupe d'experts.

Cet organisme aura pour travail d'élaborer un code de conduite, des règles d'admission à la profession, des programmes d'éducation et les règles d'un fonds d'indemnisation des victimes pour, ultimement, mettre un terme aux abus de ceux que M. Coderre qualifie de "vautours". "Quand les gens peuvent se faire radier du barreau pour fraude et que le lendemain ils peuvent s'ouvrir un bureau de consultants en immigration pour faire de l'argent et qu'on peut rien faire, il y a un problème là", a illustré le ministre, qui veut mettre un terme à ce genre de pratiques peu scrupuleuses.

"Nous devons nous assurer que lorsque les gens immigrent au Canada, ils réalisent leur rêve plutôt que de se faire vider les poches par ces vautours", a-t-il poursuivi. En octobre, M. Coderre avait pris position clairement, indiquant qu'il avait l'intention de mieux protéger les immigrants des bandits qui abusent de leur confiance. Il avait mandaté un groupe d'experts pour qu'ils se penche sur la question et lui soumette des recommandations. "C'est le début d'une ère nouvelle en matière d'immigration", a fait valoir le ministre de l'Immigration. Mais avant que tout le processus réglementaire soit mis en place, il pourrait bien s'écouler plusieurs mois, voire deux ou trois années, a dû admettre M. Coderre. La première étape est la formation d'un secrétariat, au sein de son ministère, doté d'un personnel et d'un budget de 700 000 $. Ce secrétariat devra établir le fonctionnement du futur organisme de réglementation des consultants. Outre la situation canadienne, M. Coderre exige que la réalité à l'étranger ne soit pas oubliée. C'est pourquoi il tient à ce que l'organisme se penche sur une façon d'éduquer et de prévenir ceux et celles qui veulent immigrer au Canada. "Ces vautours ne sont pas présents qu'au Canada. Ils existent aussi à l'étranger", a-t-il déploré.

RELIÉ
Passeport pour l'esclavage
«Titulaire d'un bac en psychologie et d'un autre en travail social, Myriam Bals, cette Française native de Toulouse arrive au Québec en 1987 pour compléter sa maîtrise. Le hic, c'est que l'agence québécoise visitée lors d'un séjour touristique au Québec lui avait vanté le PAFR (Programme d'aides familiaux résidants / Live-in Caregiver Program, mis au point par Immigration Canada) sous un jour totalement faux. «On m'a fait croire qu'il s'agissait d'un programme de filles au pair comme il en existe en Europe. Je croyais qu'il me permettrait de travailler tout en étudiant. Sauf que le permis de travail délivré aux aides familiales m'interdisait de poursuivre des études... Au début, j'ai cru que c'était une erreur. Je ne pouvais pas croire qu'un tel programme existait au Canada!» Plutôt que de plier bagages, Myriam se résigne à compléter les deux années de travail du PAFR. Exploitée, sous-alimentée pendant 24 mois, elle parvient tout de même à entrer à l'Université de Montréal. Elle choisit alors de faire de cette situation scandaleuse le thème de son mémoire de maîtrise, puis de sa thèse de doctorat. Un choix tout désigné puisqu'en deux ans ses activités au Québec se limitent au polissage de l'argenterie et à l'entretien des parquets de sa patronne.

Selon les recherches de Myriam Bals, 95 % des domestiques étrangères sont victimes d'abus. Contraintes par le programme d'habiter chez leur patron, elles font des heures supplémentaires qui demeurent souvent impayées. Le contrat type suggéré par Citoyenneté et Immigration Canada (il n'existe aucune mesure pour le faire respecter!) fixe le salaire hebdomadaire à 271 $ pour 49 heures de travail. Une véritable aubaine pour avoir sous la main 24 heures sur 24 une femme de ménage doublée d'une nounou. Une expression revient souvent quand on évoque le PAFR: cheap labour.

Au mois de mars 2003 on vendait dans la Gazette de Montréal des "esclaves" modernes. En effet, des travailleuses domestiques philippines étaient offertes en enchère au site: auctionmart.canada.com, à côté d'armoires laqués, de chaises à bascule, et de lave-auto. L'annonce pour la vente aux enchères a été placée par l'agence Diva International, et présentée par les compagnies Canwest Global. L'article 639964 offrait trois domestiques/gardiennes aux enchères, citant leur valeur au détail à $800.

"On ne peut pas accepter ça", a dit Jasmine DelaCalzada, présidente de PINAY, l'organisation des femmes philippines du Québec. "Déjà le programme fédéral des aides familiales résidentes crée une situation de quasi-esclavage pour nos femmes. Avec ce truc publicitaire, on en fait des biens de consommation, à acheter et troquer comme un tapis."

L'édition du Devoir du samedi 29 et du dimanche 30 mars 2003 a informé que La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse avait décidé de faire toute la lumière sur cet une incroyable histoire présentée sur le site Internet de CanWest Global. Les médias impliqués, The Gazette, AuctionMart Canada.com, ainsi que l'agence Diva international de Montréal — le «propriétaire» des «biens» mis en vente — seraient dans les prochaines semaines rencontrés par des enquêteurs et des poursuites judiciaires pourraient être intentées, avait précisé la Commission. Pourtant, trois mois sont passées et on ne trouve aucune trace de cet affaire sur le site de la Comission.

Écoutez "LE TEMPS UKRAINIEN" à Montréal (Québec, Canada)
émissions tous les samedi entre 18h00 et 19h00 sur la bande CFMB 1280 AM à Montréal :
Nouvelles :: Reportages :: Interviews
Activités communautaires : www.ukrainiantime.com/events.html
16 juin 2003

:. Affaire Duranty: AFP et "Journal de Montréal" sont timides comme jamais
 
Le 12 juin 2003 le "Journal de Montréal" publie sur la page 36 un article intitulé "Demande de révision du Pulitzer décerné en 1932 au New York Times". L'article commence de cette façon: NEW YORK (AFP) - Le premier prix Pulitzer décerné en 1932 à un journaliste du New York Times en poste à Moscou, Walter Duranty, va être rééxaminé à la demande d'un comité ukrainien basé aux États-Unis, qui l'accuse d'avoir été trop élogieux a l'égard de Staline, a indiqué le Pulitzer hier. Et ensuite: Cette demande de révision du prix a été adressée à l'organization du prix Pulitzer par le comité du Congrès ukrainien des États-Unis (UCCA) pour lequel le jouirnaliste a caché la grande famine du début des années 30 qui a frappé l'URSS, et notamment l'Ukraine. L'article se termine par cette conclusion: Mauvais moment. La demande de révision du prix intervient alors que New York Times vient d'être éclaboussé par un scandale éditorial provoqué par une affaire de plagiats et de falsifications, qui a provoqué la demission début juin d'Howell Raines, le directeur d'information du journal et de son adjoint.

RELIÉ
La famine-génocide de 1932-1933 dans un rapport du Consul d’Italie Sergio Gradenigo de 31 mai 1933
L'article publié par le "Journal de Montréal" nécessite au moins quatre corrections. Primo: Walter Duranty n'a pas tout simplement caché la grande famine. Pour ses mensonges, W. Duranty non seulement a reçu trois prix Pulitzer mais aussi un Ordre de Lénine de la part de Stalin. Secondo: un comité ukrainien basé aux États-Unis est, en réalité, l'Association Canadienne Ukrainienne de Libertés Civiles soutenue par l'Association des Ukrainiens en Grande-Bretagne, la Fédération Australienne des organismes ukrainiens, du Congrès Européen des Ukrainiens, du Comité Américain Ukrainien de la Justice, du Congrès Canadien Ukrainien et du Comité de Congrès Ukrainien de l'Amérique. Terzo: la grande famine du début des années 30 qui a frappé l'URSS était une famine sciemment provoquée par le pouvoir communiste russo-soviétique. Ainsi, Harry Lang, un socialiste américain favorable au régime bolchevique avait appris d'un haut fonctionnaire soviétique que 6 millions d'Ukrainiens au moins avaient péri du fait de la famine. Quarto: cette campagne internationale de protestation (voir Annuler le Prix Pulitzer décerné à Walter Duranty en 1932) a été lancé bien avant un scandale éditorial chez New York Times. On ne peut pas donc insinuer qu'elle intervient...
Listen to news Écoutez les nouvelles dans la langue ukrainienne en ligne : RCI (Radio Canada International)
12 mai 2003 Annuler le Prix Pulitzer décerné à Walter Duranty en 1932 >>>
3 mai 2003 Le ministre Denis Coderre veut impliquer les régions dans l'immigration >>>
21 avril 2003 Au commencement était l'oeuf >>>
16 mars 2003 Un journal est né! Il s'appelle Katchka! >>>
6 mars 2003 Le WBC a préparé un sale coup pour Vitali Klitschko >>>
... Nouvelles précédentes >>>
En haut de la pageLa plupart de nos pages sont en ukrainien. A l'intention d'un internaute francophone
nous sommes heureux de présenter quelques pages en français:
Fête de Saint-Mykola Fête de Saint-Mykola (Saint-Nicolas) le 18 décembre 1999
Voyage à Ottawa Voyage à Ottawa à l'élection présidentielle le 30 octobre 1999
Fête de Saint-Valentin Fête de Saint-Valentin le 19 février 2000
Voyage á Ottawa II Voyage á Ottawa au Festival canadien des tulipes
et au match amical de football-soccer le 21 mai 2000

En haut de la pagePour plus d'informations sur la présence ukrainienne sur l'Internet
visitez les pages suivantes:

• UKRAINE EUROPE - premier site français et francophone consacré à la recherche, à l’étude et la diffusion d’informations concernant l’Ukraine, les Ukrainiens et l’émigration ukrainienne. À lire : Petlura et la politique des minorités en Ukraine.

Montreal Ukrainian Festival• Le site web www.ukefestmontreal.org de Festival ukrainien de Montréal (Québec, Canada) organisé par la Société culturelle St-Volodymyr de Montréal - un organisme à but non-lucratif dédié à la promotion de l’héritage culturel ukrainien dans le contexte Québécois.
• InfoUkes - un site torontois extrémement riche. En anglais de préférence. À lire en français : Sergeant Filip Konowal, la croix Victoria.

Le Festival Ukrainien de Bloor ouest• Le Festival Ukrainien de Bloor ouest a été inauguré en 1997 comme réponse de la communauté canadienne ukrainienne à l'appel de la ville de Toronto pour souligner la naissance en 1991 d'un accord de jumelage entre Toronto et la capitale de l'Ukraine, Kyiv. Cet année le Festival ukrainien à Toronto est un événement de deux jours commençant le 13 septembre. (en anglais)

Ani Lorak - www.anilorak.com • Ani Lorak - le site de la chanteuse ukrainienne. Une vraie merveille!

• UA Zone - ce site contient differentes informations sur l'Ukraine, sa capitale Kyiv (connue aussi sous le nom de Kiev), son histoire, sa culture et plus... Presque le tout ce que vous voudriez savoir à propos de l'Ukraine (en anglais)

• Vie musicale ukrainienne á Montréal: caractéristiques et spécifités - l'extrait d'un article de Claudette Berthiaume-Zavada paru sur le site de la Société québécoise de recherche en musique

• Fleurs de la Bible
(Exposition internationale d'art en tournée)


Aquarelles par Larisa Sembaliuk Cheladyn

Cette collection magnifique illustre,
à travers l'histoire biblique,
l'équilibre délicat entre l'homme et l'environnement
• Andrey Kutash  - Musicien ukrainien de Montréal (Québec, Canada) (en anglais)

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Dernière mise à jour le 18 juin 2003.